Un Funk plus brut
Le P-Funk ou Psychedelic Funk est un sous-genre musical du Funk. Musicalement, l’énergie du Rock, un soupçon de psychédélisme sont très présent dans un morceau de P-Funk. A l’inverse sa composante R’n’B s’évapore lentement. Enfin, une composante science-fiction est présente assez régulièrement.
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Significations
A l’origine, ce terme comporte les initiales P pour PARLIAMENT et F pour FUNKADELIC dont le leader GEORGE CLINTON et certains membres sont identiques.
Pour certaines personnes P signifie Pure (Pur en français), donc Pure Funk. Enfin pour d’autres spécialistes, le P serait la première lettre de Plainfield, ville du New Jersey qui a vu naitre le groupe PARLIAMENT.
C’est pourquoi, JIMI HENDRIX qui introduit beaucoup de funk dans son rock psychédélique produit de ce fait du P-Funk dans une grande partie de sa discographie dès 1967.
En 1989, en Californie, on invente un dérivé du Gangsta Rap qui puise son inspiration dans le P-funk. Il s’agit du G-funk.
Albums :
. PARLIAMENT (Up for the down stroke)
. FUNKADELIC (Maggot brain)
. JIMI HENDRIX (Axis: Bold as love)
. GEORGE CLINTON (You shouldn’t – Nuf bit fish)
. HARDWARE (Third eye open)
. BOOTSY COLLINS (World wide funk)
. BOOTSY’S RUBBER BAND (Ahh… the name is Bootsy, baby)
. JAMES BROWN (The Popcorn)
. THE METERS (Struttin’)
. THE BRIDES OF FUNKENSTEIN (Funk or walk)
Hit Singles :
. BOOTSY COLLINS feat. FANTAAZMA – Hip Hop lollipop